Pour info, je n'ai plus vu de contrôleur depuis l'année dernière, en prenant le tram au moins 2 fois par semaine. Je me demande pourquoi je paye encore...

A Strasbourg ? Je le prends 4 fois par jour et depuis 6 mois, je les croise 2 à 4 fois par semaine sans les chercher

c'est marrant à la station gare, ils n'ont même pas imaginé un système type métro avec portique, du coup c'est exactement pareil que sur le reste de la ligne, après on se fait coincé plus facilement, puisque c'est à l'intérieur.

A Mulhouse, j'ai appris que certains tirent la poignée de freinage d'urgence, déclenchant l'ouverture de toutes les portes (c'est limite l'émeute en fait...Image).
A Stras, les trams ont 8 portes, il faut tout de suite plus de monde pour bloquer tout ça...

sinon plutôt qu'a la sortie du tram à la sortie des quais.

Pour info, je n'ai plus vu de contrôleur depuis l'année dernière, en prenant le tram au moins 2 fois par semaine. Je me demande pourquoi je paye encore...

Ils doivent être en Week-end du vendredi 16h au dimanche soir alors

c'est marrant à la station gare, ils n'ont même pas imaginé un système type métro avec portique, du coup c'est exactement pareil que sur le reste de la ligne, après on se fait coincé plus facilement, puisque c'est à l'intérieur. Mais les gens ne valident pas plus à cette station. Enfin si les gens validaient ça se saurait...

Fool

Hello !

Avec un portillon de ce type c'est sûr il y a des gros risques de fraudeurs,
avec un système de ce type ou encore celui là y a beaucoup moins de risque de fraude

Ce qui pourrait être intéressant c'est un contrôle en entrée mais aussi en sortie (Pas de ticket pour sortir à gare centrale ? Obligation d'en acheter un avant de sortir mais cette fois si avec un prix multiplié par 2 ou 3)

="DNA.fr"Sale temps pour les fraudeurs

La Compagnie des transports strasbourgeois effectue sa rentrée 2011 sans grande nouveauté pour le client. En revanche, un dispositif anti-fraude renforcé va mettre un sérieux tour de vis à certaines pratiques.

On n’étend pas tous les ans le réseau de tramway. Ce qui permet, durant les exercices calmes, de soigner la gestion de l’entreprise. Notamment en se penchant sur le manque à gagner. C’est, en substance, le message que délivrait ce lundi matin, le directeur de la CTS Jean-Philippe Lally.
Un taux de fraude à 12 %

Pour être précis, les voyages en fraude, sans ticket ou avec des titres non valables (utilisés en aller-retour de façon indue ou au-delà de l’heure de validité) ont une valeur estimée annuellement autour des 4 M €, soit, grosso modo, 12 % du total des recettes clients, bus et trams confondus. Le chiffre est documenté par des enquêtes régulières et sérieuses. Le principe est celui du contrôle (non verbalisé) de voyageurs : « Lors de ces enquêtes, on arrive à produire des estimations et définir quel type de fraude s’apparente à quel type de titre », précise Jean-Philippe Lally.

Évidemment, la compagnie de transports ne peut en rester à ce simple constat. « Depuis l’été dernier, nous appliquons une tarification solidaire basée sur la réalité des ressources des ménages », rappelle le directeur général de la CTS. « À partir du moment où la contribution de chacun est calculée au plus juste, la fraude devient d’autant moins acceptable », poursuit Jean-Philippe Lally. Et la CTS entre donc dans le vif du sujet.

Depuis quelques semaines, six contrôleurs de plus sont inscrits à l’effectif de l’entreprise, « ce qui représente une équipe supplémentaire en permanence sur le terrain », annonce la CTS. Au vu des enquêtes concernant la fraude, le déploiement de ce renfort a été simple : dans les trams et au centre-ville.
La fin des « transactions »

« Une grande partie des resquilleurs opère sur des trajets courts, d’une ou deux stations », précise Jean-Philippe Lally. « C’est ce qu’on appelle, dans le jargon, l’effet tapis roulant ».

À partir du 12 septembre, faire du « tapis roulant » au mépris des honnêtes citoyens va coûter beaucoup plus cher qu’auparavant. Pour l’absence constatée d’un titre de transport, on déboursera, en paiement immédiat, 45 €, et 30 € pour un titre non valable.

L’ancienne transaction à 26 €, pour paiement immédiat à bord du véhicule, est purement et simplement abandonnée. « Certains faisaient le calcul qu’en fraudant avec toujours la somme précitée en poche, on s’en tirait statistiquement pour moins cher qu’en prenant un abonnement mensuel »…

En dehors de la réactualisation des tarifs des procès-verbaux, le paiement différé va faire, lui aussi, l’objet d’un bond non négligeable vers la dissuasion. Dès la sortie du véhicule sans payer son amende, la CTS va dégainer, à l’attention des contrevenants, de fameux frais de dossiers. S’ajouteront à l’amende, 20 € pour un paiement sous 15 jours, 38 € pour un paiement entre le 16 e et le 60 e jour. Enfin, l’étape finale de la fâcherie sera toujours la transmission du PV au ministère public pour recouvrement.

On notera que les mineurs ont toujours un délai de cinq jours pour payer leur prune. L’idée est qu’il faut avoir dépensé l’argent de l’abonnement dans des sucreries, s’être fait pincer dans le tram et trouver le courage d’expliquer tout ça à ses parents durant le week-end. Ce qui vaut parfois le ministère public !

MSK
http://www.dna.fr/fr/strasbourg/info/55 ... -fraudeurs