Il semblerait qu'une nouvelle station automatique fasse son apparition place de la gare, donc en surface (déplacement de la station souterraine ou création d'une station supplémentaire?)

En tout cas, en traversant la place de la gare, j'ai constaté qu'un ensemble de parking à vélos siglés Vél'hop avaient fait leur apparition, avec en leur centre une borne automatique Vél'hop.
L'ensemble se situe entre le quai du tram C et l'entrée nord de la verrière.

Ce qui veut dire que si la station A (mettons Campus d'illkirch) est rouge et la station B (mettons Gare - Soutterain) est aussi rouge je peux prendre mon vélo à Campus et le rendre à Gare ou c'est que je ne suis pas ?

C'est quoi ce système de couleurs à la c** ? Ils débloquent ou quoi !?

Si j'ai moi aussi bien compris, oui, c'est ça.

Aprè les avoir appelé hier ils m'ont dit qu'il faut toujours rendre le vélo dans la même station mais en + sur la station de la même couleur !

Ce qui est étonnant c'est que dans les C.G.U et sur leur site internet il n'est plus précisé que l'on doit rendre dans la même station, dans ce cas, je prendrais bien une formule liberté

Le Vélhop change de braquet

Voilà presqu’un an que le Vélhop strasbourgeois a été mis en circulation. Profitant de la vague touristique de l’été, il veut consolider ses acquis et passer à la vitesse supérieure en séduisant le marché d’entreprise et la clientèle étudiante.

Velib, Vélo’v, Vélhop, Vélo Cité, Vélo +, VélO2, Vélodi ou encore Vélivert (à St-Etienne, of course), ces nouveaux noms désignant les vélos en libre-service ont fleuri dans les cités au fil des années.

Aujourd’hui, plus d’une trentaine de villes sont dotées de ce moyen de locomotion, considéré par le British Medical Journal comme « bénéfique pour la santé et l’environnement ».

Une évidence certes, mais qu’il fallait cependant consigner dans une étude officielle. Et celle publiée dans la revue médicale la plus lue au monde prend l’exemple du Bicing de Barcelone qui a, selon BMJ, permis de « sauver douze vies par an en réduisant de 9 000 tonnes la pollution en dioxyde de carbone. »
20 000 locations en moins d’un an

À Strasbourg, le Vélhop a ouvert sa première boutique le 23 septembre 2010. Mais le pionnier, c’est Rennes. L’année où Zidane et les Bleus s’offraient le monde, la cité bretonne lançait en 98 son deux-roues en libre-service.

Mais c’est le Vélo’v lyonnais qui, 7 ans plus tard, allait vraiment donner une impulsion à tout le territoire français, notamment à la capitale. Même si aujourd’hui le Vélib’parisien fait figure de porte-drapeau avec ses 24 000 vélos, ses 1 800 stations et ses 180 000 abonnés.

Après presqu’un an de mise en service, le Vélhop strasbourgeois a été bien adopté. La capacité du parc s’élève à 3 000 vélos, dont 850 en libre-service dans les stations automatiques. Mais surtout, depuis le 23 septembre 2010 jusqu’au 31 juillet dernier, 20 000 actes de locations ont été recensés. « Cela représente une augmentation de 60 % par rapport aux statistiques de « Vélocation » un an auparavant. Et pour conserver cet élan, nous allons travailler encore plus étroitement avec les entreprises et développer l’offre étudiante », souligne Geneviève Goujon, chef de projet Vélo Partagé et Accessibilité à la CTS.
« Une chambre étudiante, un vélo »

En effet, de plus en plus d’entreprises strasbourgeoises se constituent un mini-parc de Vélhop à l’usage de leurs employés, ce qui permet d’effectuer des économies substantielles en frais généraux.

Quant aux étudiants, cœur de cible d’une ville universitaire (42 500 à Strasbourg en 2011), ils sont également choyés.

À partir du 1er septembre, Vélhop lance l’opération : « Une chambre CROUS, un vélo. »

L’offre s’adresse aux étudiants logés en cité universitaire et âgés de moins de 26 ans. S’ils répondent à ces critères, ils peuvent bénéficier d’un vélo à l’année (jusqu’au 30 juin 2012) pour un tarif annuel de 65€, révision trimestrielle comprise. « Nous sommes souvent sollicités par des groupes d’étudiants, mais aussi par des collégiens, notamment des correspondants italiens ou espagnols, qui nous louent 30 vélos pendant leur séjour à Strasbourg. Même postulat pour les parlementaires qui ont l’habitude de réserver des Vélhops pendant les sessions. Au total, cela représente une centaine de deux-roues avec la station de la Gare comme point de chute privilégiée », commente Geneviève Goujon.
80 % de locations sur une courte durée

Et cet été, on a l’impression que Strasbourg s’est mise au vert du Vélhop. Beaucoup de touristes ont en effet décidé de visiter la ville à vélo. Il est vrai que les 536 km de pistes à travers la Cus constituent un formidable accélérateur de particules.

« 80 % des locations se font sur une courte durée : soit à l’heure, soit à la journée », précise Geneviève Goujon, par ailleurs directrice de « Strasbourg Mobilités ».

Parallèlement, la moyenne d’utilisation du Vélhop se situe en hausse durant l’été : 6 à 7 heures en juillet, contre 5 heures en mai-juin, où la météo a pourtant été beaucoup plus favorable.

Tous les clignotants sont donc au vert pour que le vélo strasbourgeois en libre-service continue son ascension.

Patrick Schwertz
http://www.dna.fr/fr/strasbourg/info/55 ... de-braquet

Une application roule pour le Vélhop
Créé le 30/08/2011 à 04h48 -- Mis à jour le 30/08/2011 à 04h48
VeloDispo est une appli gratuite.

C'est en cherchant désespérément une station à Dijon pour déposer son vélo en libre-service que Benoît Deldicque a eu l'idée, il y a trois ans, de créer VeloDispo. Depuis son application, pour iPhone et iPad, concerne 15 villes françaises, dont dernière en date : Strasbourg. Son principe, « communiquer le nombre de Vélhop disponibles par station automatique et dans les boutiques, ainsi que les emplacements libres pour les rendre », explique le développeur en téléphonie installé depuis peu dans la capitale alsacienne. Pour ce faire, il récupère et reformate en temps réel les informations dispensées par le site Internet* officiel de location de ces biclous partagés. Exemple, hier vers 18 h, 16 engins attendaient preneur à la station Hoenheim-Gare, 28 au parking Broglie.

Calculer son itinéraire

Téléchargeable gratuitement, VeloDispo permet aussi « de calculer un itinéraire, de trouver un vélo par rapport à l'adresse de l'un de ses contacts ou le plus proche en fonction de sa localisation », argumente Benoît Deldicque. Pratique, facile d'utilisation et d'une présentation lisible, l'application sera remise à jour à chaque nouvelle ouverture d'un lieu de location. Autre bon point, elle ne contient pas de publicités, contrairement à l'autre page du même type baptisée Velhop.
D'ici à la fin de l'année, Benoît Deldicque devrait éditer une nouvelle application pratique dédiée, cette fois, aux horaires du réseau de bus et de tramways de la CTS. À suivre. P. W.
http://www.20minutes.fr/strasbourg/7774 ... ule-velhop